En cette saison de la «bouette», on fait l'éloge des chars sales et des caristes, on célèbre l'ennui et on bannit les écrans, question de s'illuminer par en dedans.
En cette saison de la «bouette», on fait l'éloge des chars sales et des caristes, on célèbre l'ennui et on bannit les écrans, question de s'illuminer par en dedans.