Une journée pas comme les autres

Édouard découvre avec stupeur, grâce à un commissaire-priseur, une correspondance de 400 lettres datant du XVIIIe siècle entre un esclavagiste expatrié dans la colonie de Saint-Domingue et de sa sœur, elle, restée à Dunkerque. Ces témoignages couchés sur papier sont troublants et révélateurs d’un certain mode de pensée d’une époque.

Un jour, David reçoit un coup de téléphone, c’est Geneviève de Fontenay. Suite à une mésaventure sur un plateau télé, la dame au chapeau a repris contact avec le journaliste local pour relater les faits. Depuis ce jour, les échanges téléphoniques et écrits sont plus réguliers entre eux.

Amélie n’oubliera jamais sa rencontre avec Karine, une femme pleine de force et de courage qui a été victime de violences conjugales. Un fait divers complexe qui a détruit une famille de 4 enfants et le corps d’une mère.

Blandine, journaliste stagiaire, se lance à la poursuite d’une ministre en visite surprise, non planifiée pour la presse, dans le Marais Audomarois. La patience finit toujours par payer.

Hélène a assisté au procès de l’homme accusé d’avoir tué Yanis, 4 ans, une nuit de février 2017. Elle retourne sur les lieux du drame. Ambiance glaciale dans la salle d’audience. Des témoins, des experts et des images insoutenables ponctuent la séance du procès de celui qui a tué « pour un pipi au lit ».

Pour son reportage, Antoine rencontre les organisateurs du salon de l’érotisme. La fête bat son plein lorsqu’il est invité dans le théâtre érotique. C’est alors qu’il va vivre une situation aussi surprenante que malaisante.

Gwendoline, journaliste débutante est appelée sur un fait divers qui marquera à jamais son esprit. Les gendarmes et les plongeurs sont sur place, une femme s’est suicidée en se jetant dans le canal avec sa voiture. Elle voit alors la voiture ressortir de l’eau. Des images la hantent encore aujourd’hui

À Dunkerque, le carnaval ça se vit, ça se transmet et ça s’apprend. Florent, journaliste calaisien, découvre le carnaval de Dunkerque. Du choix du déguisement jusqu’à la cantate à Jean Bart, il nous fait part en immersions de toutes ses émotions.

Alors que l’hiver arrive, une commerçante liée d’amitié avec un sans-abri s’est présentée à la rédaction. Elle fait part de son inquiétude vis-à-vis du SDF isolé dans une cabane en forêt sur un terrain privé. Il sera expulsé. L’émotion est palpable. Edgar rencontre ainsi un homme brisé par le travail.

En sortant de la rédaction, Laurent tombe sur une Ferrari. La police en patrouille lui explique qu’il s’agit d’une fausse. Laurent écrit un article au ton léger, le propriétaire est furieux et le fait savoir.