Le « tueur de la gare de Perpignan » a été incriminé par son ADN en 2014 pour deux meurtres suivis d'horribles mutilations survenus en 1997 et en 1998. Mais en 2019, il est de nouveau mis en cause dans une affaire non résolue quand Marie-Laure Brunel Dupin, profileuse de la gendarmerie, réussit à le lier à un homicide survenu aux alentours d'Amiens en 1986.