Propos recueillis par Benoit Basirico
à Cannes
La Prisonnière de Bordeaux, de Patricia Mazuy
Au cinéma le 28 août 2024
Musique originale composée par Amine Bouhafa
Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20240527222049
Amine Bouhafa rencontre Patricia Mazuy (succédant à Theo Hakola, John Cale et Wyatt E dans l'œuvre de la cinéaste) pour parler de la relation entre deux femmes issues de milieux différents (Alma - Isabelle Huppert, seule dans sa grande maison bourgeoise, et Mina - Hafsia Herzi, jeune mère dans une lointaine banlieue), réunies par les visites au parloir où leurs maris sont détenus. La musique tisse un lien entre les personnages et représente cette amitié, caractérisée par un thème allant de la guitare aux saxophones, se terminant par un sifflement final. Le compositeur a également composé la chanson d'ouverture et de clôture du film, "Je Sens Tu Mens", interprétée par Sarah McCoy, sur des paroles de la cinéaste. L'audace du récit réside dans l'absence d'éclats ou d'événements majeurs (avant une dernière scène de trahison), la musique insuffle ainsi une dose de romanesque, et élargit le cadre des murs.
à Cannes
La Prisonnière de Bordeaux, de Patricia Mazuy
Au cinéma le 28 août 2024
Musique originale composée par Amine Bouhafa
Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20240527222049
Amine Bouhafa rencontre Patricia Mazuy (succédant à Theo Hakola, John Cale et Wyatt E dans l'œuvre de la cinéaste) pour parler de la relation entre deux femmes issues de milieux différents (Alma - Isabelle Huppert, seule dans sa grande maison bourgeoise, et Mina - Hafsia Herzi, jeune mère dans une lointaine banlieue), réunies par les visites au parloir où leurs maris sont détenus. La musique tisse un lien entre les personnages et représente cette amitié, caractérisée par un thème allant de la guitare aux saxophones, se terminant par un sifflement final. Le compositeur a également composé la chanson d'ouverture et de clôture du film, "Je Sens Tu Mens", interprétée par Sarah McCoy, sur des paroles de la cinéaste. L'audace du récit réside dans l'absence d'éclats ou d'événements majeurs (avant une dernière scène de trahison), la musique insuffle ainsi une dose de romanesque, et élargit le cadre des murs.