Après Abidjan, c’est à Paris en 1988 que Jean-Michel Basquiat rencontre les Ivoiriens Auguste Mimi Errol et Ouattara Watts, alors installés en France. Ils l’invitent à revenir chez eux, et se préparent à l’accueillir, espérant qu’ils pourront aussi le guérir de sa dépendance à la drogue. Mais il décède quelques mois plus tard, avant d’avoir pu les rejoindre en Côte d’Ivoire, où sa liberté artistique a tout de même ouvert la voie à bien des peintres.
Avec Mathilde Moro (plasticienne du mouvement Vohou-vohou), Georges Courrèges (ancien directeur du Centre culturel français d’Abidjan), Mimi Errol (galeriste et critique d’art), Peintre Obou, les élèves de primaire de la commune d’Abobo (Abidjan), et le peintre Ernest Duku.