Triplement césarisé, on lui doit plusieurs films et séries notables. Il a également été récompensé à deux reprises au théâtre.
Le jeune homme n’est pas fan des études. Le jeune Niels va s’inscrire aux cours de la comédienne Tania Balachova, qu’il découvre à la télé, en parallèle de petits boulots. Il a 24 ans, en 1973, quand il apparait pour la première fois à l’écran, c’était dans « Miss O’Gynie et les Hommes fleurs » de Samy Pavel – et cocorico, c’est un film belge.
Il va continuer de jouer au théâtre. Sur grand écran, sa carrière débute avec des seconds rôles dans des films d’auteur. Mais c’est sur le petit écran qu’il va passer assez rapidement au premier plan, grâce notamment à des adaptations littéraires pour la télévision. « Le Tourbillon des jours » en 1979 est un bel exemple. Il deviendra aussi populaire au théâtre qu’en télé, on l’a notamment vu dans « Baron Noir » avec Kad Merad en 2016.
Au cinéma, il devra attendre le milieu des années 80 pour enfin obtenir des rôles principaux, même si les films en question ne sont pas forcément de grands succès populaires. Jusqu’en 2005 et « De battre mon cœur s’est arrêté » de Jacques Audiard et avec Roman Duris. Il décroche le César du meilleur acteur dans un second rôle. Deuxième César cinq ans plus tard pour « Un prophète » où il campe le rôle de César Luciani, un parrain de la mafia corse. Son troisième César viendra avec « Quai d’Orsay » de Bertrand Tavernier avec Thierry Lhermitte en 2013.
Le jeune homme n’est pas fan des études. Le jeune Niels va s’inscrire aux cours de la comédienne Tania Balachova, qu’il découvre à la télé, en parallèle de petits boulots. Il a 24 ans, en 1973, quand il apparait pour la première fois à l’écran, c’était dans « Miss O’Gynie et les Hommes fleurs » de Samy Pavel – et cocorico, c’est un film belge.
Il va continuer de jouer au théâtre. Sur grand écran, sa carrière débute avec des seconds rôles dans des films d’auteur. Mais c’est sur le petit écran qu’il va passer assez rapidement au premier plan, grâce notamment à des adaptations littéraires pour la télévision. « Le Tourbillon des jours » en 1979 est un bel exemple. Il deviendra aussi populaire au théâtre qu’en télé, on l’a notamment vu dans « Baron Noir » avec Kad Merad en 2016.
Au cinéma, il devra attendre le milieu des années 80 pour enfin obtenir des rôles principaux, même si les films en question ne sont pas forcément de grands succès populaires. Jusqu’en 2005 et « De battre mon cœur s’est arrêté » de Jacques Audiard et avec Roman Duris. Il décroche le César du meilleur acteur dans un second rôle. Deuxième César cinq ans plus tard pour « Un prophète » où il campe le rôle de César Luciani, un parrain de la mafia corse. Son troisième César viendra avec « Quai d’Orsay » de Bertrand Tavernier avec Thierry Lhermitte en 2013.