Un nouveau groupe d’inter bailleurs prend ses quartiers à Nice
Comme pour ses homologues parisiens avec le GPIS, les Montpelliérains le GSRI et le GITES à Toulouse, la ville niçoise accueille son groupement d’inter bailleurs sociaux au quartier des Moulins.
Baptisé Gaida, pour garde dans le patois Nissart, ce groupe aura pour mission d’agir contre les désordres et les abus. Eric Zuber, directeur de ce groupement privé a annoncé qu’il « remontera toutes les infos de types sécuritaires aux forces de l’ordre et que tous les immeubles seront surveillés ».
Vêtu d’un uniforme gris, d’un gilet tactique, d’une matraque télescopique, d’une casquette avec coque et d’une bombe lacrymogène, ces anciens vigiles, policiers ou garde du corps, ont tous suivi une formation de quatre mois. Ils seront accompagnés de deux chiens durant leurs rondes afin de dissuader les fauteurs de troubles de revenir.
Un dispositif complet voulu par Christian Estrosi, maire de Nice et Anthony Borré, premier adjoint au maire qui coûtera 1,8 million d’euros, partagé entre les bailleurs sociaux et la capitale du département des Alpes-Maritimes.
Baptiste VINAS
CountAct, la nouvelle solution en cas d’urgence !
Avec l’évolution du télétravail et du Flex Office entraînant une réduction des effectifs sur site, CountAct se positionne comme la première entreprise à proposer une application numérique dédiée à garantir une gestion efficace des urgences sécurité dans tous les établissements. Cette solution comprend les sites industriels, tertiaires ou bien les ERP comme les écoles ou les musées.
Ils apportent un soutien précieux à leurs clients issus du luxe, du milieu bancaire ou encore du pharmaceutique dans le maintien de leurs plans d’urgence du personnel et de gestion des alertes au quotidien.
L’application collaborative CountAct se décline en deux volets :
- Pour les fonctions décisionnelles, membres de la cellule de crise et superviseurs de la mise en sécurité d’un établissement, offrant des indicateurs d’évacuation et des fiches réflexes, entre autres. Ainsi qu’une boite noire limitant le risque de responsabilité civile et pénale des directeurs.
- Pour les fonctions opérationnelles chargées de mettre à l’abri les collaborateurs et le public externe, avec des rappels de consignes et la prise en charge des zones d’urgence.
Une start-up cofondée par deux frères, spécialiste en sécurité industrielle qui ne cesse de grandir et d’attirer les regards, eux qui porteront fièrement la flamme olympique.
Baptiste VINAS
Le continuum de la sécurité, l’arme clé des festivals
À Thiers, en région Auvergne-Rhône-Alpes, chaque année se déroule le festival de la Pamparina où se rejoignent plus de 30 000 personnes. Pour cet événement, les moyens accordés à la sécurité sont extrêmement importants avec près de 300 000€.
Présents sur place, la sécurité privée joue un rôle majeur dans le bon déroulé de ce festival et correspond à plus de 8% du budget soit 25 000€. Ils sont accompagnés, durant toutes ces festivités, par la gendarmerie nationale, la police municipale et les services de sécurité civile (Croix-Rouge et pompiers) mettant une nouvelle fois l’accent sur la réussite du continuum de la sécurité.
Baptiste VINAS
Directeur de la publication : Michaël Lejard
Chef d’édition : Eric de Riedmatten
Directrice pôle sécurité-sûreté : Virginie Cadieu
Éditeur : Agora Médias, une activité d’Agora Managers Groupe