Autrefois pionnière dans la reconnaissance de l’agriculture biologique (AB), la France connait aujourd’hui une crise sans précédent qui se manifeste par un déséquilibre durable – de plus d’un an – entre l’offre et la demande. Elle reste à ce jour le premier pays européen en termes de surfaces et le troisième marché biologique mondial derrière les Etats-Unis et l’Allemagne. Des leviers existent-il pour juguler cette tendance et renouer avec un développement de la consommation ? Le point avec Magali Catteau, Chargée d’études filières biologiques
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