Avec Gérard Gachet, ancien directeur de la communication du ministère de la Défense, adjoint au maire du XVIe. Auteur de Jean-Louis Georgelin, le général de Notre Dame (Balland) Il y a la crosse, il y a eu aussi le sabre : sans l’autorité du général Jean-Louis Georgelin, Notre-Dame de Paris n’aurait pas été relevée si vite, si bien. Son génie organisateur d’officier général, son esprit de famille ont permis de coaguler les énergies, qu’elles soient venues du public ou du privé. Le général Georgelin était apprécié des compagnons et artisans qu’ils connaissaient tous très bien et qu’ils pouvaient appeler chacun par leur nom. Sa foi l’a aussi amené à refuser des projets extravagants consistant à transformer la cathédrale en lieu multiconfessionnel, comme il en a été question au sein du ministère de la Culture au lendemain de l’incendie. Dès le 16 avril 2019, Emmanuel Macron en fait son représentant spécial. A la fin de l’année, l’ancien chef d'état -major des armées est nommé à la tête de l'établissement public créé pour piloter ce qui s'annonce comme le "chantier du siècle". Gérard Gachet souligne que sur ce dossier, le chef de l’Etat s’est distingué par une grande efficacité. Par téléphone : Marie-Noëlle Tranchant, ancien journaliste au Figaro, chroniqueur sur RND Notre-Dame de l'incendie à la renaissance Texte de Marie-Noëlle Tranchant, Avec Catherine Salviat, de la Comédie française, et Fitzgerald Berthon, voix Jean-Luc Guyard, piano Mercredi 4 décembre et jeudi 5 décembre à 20h30 à l’Espace Bernanos (4 rue du Havre, 75009 Paris). Une soirée pour revivre les émotions de la nuit inoubliable, et propose une lecture de ce drame qui va de la violence destructrice à l’élan salvateur, de la défiguration à la transfiguration. Une lecture poétique mais aussi spirituelle sur le sens profond de cet événement.