La période est trouble et l'actualité politique chargée. Aujourd'hui dans les Matins Jazz, on se réfugie dans une bulle de poésie. Jazz et poésie, poésie jazz, c'est une piste qu'on explore le nez au vent avec Anne Bergogne, autrice avec le peintre Gildas Java, de l'ouvrage Haïkus du jazz (Ed. Géorama) et avec le poète Tom Buron, qui propose en compagnie de Franck Médioni une riche anthologie de poésie en français : Le nom du son - une anthologie jazz et poésie (Ed. Castor Astral).
Et on n'oublie pas de continuer à remplir notre valise de livres. Aujourd'hui, avec L'imposture (Ed. Gallimard), le premier roman historique de l'autrice anglaise Zadie Smith : "Quand on lit un ouvrage du 19e siècle, de fiction ou non, le mot “esclave” apparaît partout mais comme une métaphore : je suis usé comme un esclave, je travaille comme un esclave, il me traite comme un esclave. L’esclavage est partout. Et pour moi, c’est comme un savoir refoulé parce qu’il est présent dans chaque instant de la vie sous l’ère victorienne. C'est ce que j’avais envie de reproduire avec ce roman."
Et on n'oublie pas de continuer à remplir notre valise de livres. Aujourd'hui, avec L'imposture (Ed. Gallimard), le premier roman historique de l'autrice anglaise Zadie Smith : "Quand on lit un ouvrage du 19e siècle, de fiction ou non, le mot “esclave” apparaît partout mais comme une métaphore : je suis usé comme un esclave, je travaille comme un esclave, il me traite comme un esclave. L’esclavage est partout. Et pour moi, c’est comme un savoir refoulé parce qu’il est présent dans chaque instant de la vie sous l’ère victorienne. C'est ce que j’avais envie de reproduire avec ce roman."