Originaire d’un village vigneron, où « tout le monde faisait de la vigne » avant les années 60, Jacques Carroget faisait déjà du vin à 15 ans le jeudi après l’école. Il reprend la tête du domaine en 1978 et y amène le souffre à cette époque-là. Mais même si elle correspondait aux stéréotypes de l’époque, la bouteille était mauvaise. Il a fallu alors ré-apprendre à faire du vin, du vrai. Avec Vincent Sulfite, ils ont parlé très cash du vin nature, du réchauffement climatique et la qualité des tannins autour d’une bouteille de « Grolleau ».