L’homme aime les super-héros. Au cinéma, il aime voir le héros vaincre ses ennemis par la force de la violence. C’est plus fort que lui, l’homme se laisse aisément séduire par ce qui frappe les regards. Mais, « L'Éternel ne considère pas ce que l'homme considère; l'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur. » 1 Sam 16 : 6-17
Quand Dieu regarde le cœur de l’homme, il ne voit que plaies et contusions. C’est ainsi que dans son incarnation, le Fils de Dieu revêt l’image de l’homme le plus ordinaire. L’acte d’autorité le plus sublime de l’histoire humaine est venu de Celui qui, en son corps roué de coups par la violence du fouet, transporte lui-même la croix de son supplice vers ultime victoire sur la bêtise de l’homme dans un acte d’humiliation où s’incarne l’image de l’anti-héros, victorieux.
« Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. » (Ésaïe 53: 2-3)
Quand Dieu regarde le cœur de l’homme, il ne voit que plaies et contusions. C’est ainsi que dans son incarnation, le Fils de Dieu revêt l’image de l’homme le plus ordinaire. L’acte d’autorité le plus sublime de l’histoire humaine est venu de Celui qui, en son corps roué de coups par la violence du fouet, transporte lui-même la croix de son supplice vers ultime victoire sur la bêtise de l’homme dans un acte d’humiliation où s’incarne l’image de l’anti-héros, victorieux.
« Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. » (Ésaïe 53: 2-3)