Là-haut, ici-bas, on sinue et on s’insinue dans une brèche des saisons. On se faufile dans les pentes enneigées, au bord de la rivière.
Entre chiens et loups, on tend l’oreille pour glisser dans le terrain, s’infiltrer dans le milieu.
Juste avant la nuit, dans les reliefs du Queyras.
Entre chiens et loups, on tend l’oreille pour glisser dans le terrain, s’infiltrer dans le milieu.
Juste avant la nuit, dans les reliefs du Queyras.