Alain Gravel rencontre Françoise Gillot, qui souffre depuis sa vingtaine d'un affaissement de la colonne vertébrale. Elle demande donc l'aide médicale à mourir – qui représente pour elle une libération – et accepte que ses derniers instants soient enregistrés. Pénélope McQuade et d'autres proches de personnes qui ont reçu l'aide médicale à mourir racontent avec émotion les questions qui les tiraillent à l'heure du deuil. Peut-on le vivre en douceur et sans regrets ultérieurs?