Apr 04 2025 30 mins 2
Florian LEMERCIER
Animateur de radio
La Pensée visuelle au service de sa dyslexie
Son site
Titre de son ouvrage : "Sur les ondes d'une vie de dyslexie "
Florian Le Mercier, animateur radio, livre un récit intime et poignant sur son parcours de vie marqué par la dyslexie.
Cet ouvrage est bien plus qu’un simple témoignage ; c’est un message d'espoir et de résilience destiné à ceux qui affrontent des défis similaires. Depuis l'enfance, la dyslexie a imposé à Florian des contraintes dans la lecture et l'écriture et bien + encore , un obstacle quotidien dans ses études et sa carrière. Pourtant, il a trouvé en lui la force de transformer cette difficulté en moteur pour atteindre ses objectifs professionnels et personnels.
À travers son parcours, Florian souhaite sensibiliser le public aux défis liés à la dyslexie et encourager chacun à poursuivre ses rêves, peu importe les obstacles. Ce livre s’adresse à ceux qui, comme lui, doivent composer avec des difficultés, et qui, malgré tout, ont en eux la capacité de réaliser leurs aspirations
Plus d'infos sur son livre : www.surlesondesduneviededyslexie.fr
Lien de l'éditeur : https://www.thebookedition.com/fr/sur-les-ondes-d-une-vie-de-dyslexie-p-411806.html#summary
« La pensée visuelle, c’est quelque chose qui m’a toujours aidé pour pouvoir, comprendre, concevoir, réfléchir d’une manière complètement différente. »
« Moi cela m’aide d’avoir quelque chose de physique, de presque palpable pour avancer dans différents projets. »
« Ma dyslexie a commencé à être diagnostic, traitée dès la CP »
« IL y a quelque chose qui m’a marqué, motivé et qui est toujours mon moteur aujourd’hui : un jour, une professeur m’a dit : « tu ne seras jamais lire, écrire, dessiner, tu ne feras rien jamais rien de ta vie » Alors quand on entend cela et qu’on est enfant, forcément ça marque ! Finalement, c’est devenu mon pilier, mon moteur, de prouver aux autres que je peux travailler différemment et que je peux utiliser mes propres outils pour m’en sortir»
« Et petit à petit, à force de travail, parce qu’un dyslexique finalement, son cerveau travaille tout le temps, il est tout le temps en action, on arrive à corriger, à gommer cela et peit à petit je me sus mis à dessiner, à faire des choses visuelles et finalement c’était cela qui me parlait moi, plus que les textes très longs qui sont très fatigants pour moi »
« (A la radio), je créé mes propres textes mais j’ai une façon particulière d’écrire par rapport aux autres journalistes … je mets pleins de petites choses visuelles qui vont m’aider. »
« Quand je fais des interviews, je laisse toujours de l’espace blanc sur la feuille et pendant que je parlais au monsieur, je faisais un petit dessin-croquis pour me dire qu’il faut que j’aille plutôt là-dessus que sur la question préparée en amont. »
« J’avais très peu de temps pour préparer l’interview, dans 2 minutes, il fallait que je rentre dans la pièce, j’ai été obligé de prendre une feuille, je faisais pleins de dessins, de pictogrammes, pour me faire un profil de cet individu (artiste que je ne connaissais pas)… Après l’interview, le gars était super content « vous m’avez posé des questions qu’on ne me pose jamais. On n’a peu faire un interview de ce qu’il fait d’habitude. »
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