Ce séminaire en français, de Jean-Marc Lévy-Leblond (professeur émérite à l'Université de la Côte d'Azur) a été enregistré lundi 21 octobre 2024 à l'IAP.
La relativité einsteinienne possède une limite bien connue, la relativité galiléenne, qui régit la chronogéométrie de la physique classique, et qui correspond au cas où la vitesse-limite serait infinie. Mais il existe aussi une limité « antigaliléenne », parfaitement cohérente, qui décrit un monde où la vitesse-limite serait nulle. En 1965,
La relativité einsteinienne possède une limite bien connue, la relativité galiléenne, qui régit la chronogéométrie de la physique classique, et qui correspond au cas où la vitesse-limite serait infinie. Mais il existe aussi une limité « antigaliléenne », parfaitement cohérente, qui décrit un monde où la vitesse-limite serait nulle. En 1965,