QUI DÉTIENT VRAIMENT LE POUVOIR EN FRANCE ? NON, CE N’EST PAS MACRON ! | GARY LASKI | GPTV


Episode Artwork
1.0x
0% played 00:00 00:00
Mar 08 2025 86 mins   19

Le 8 mars 2025, Gary Laski était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !

Gary Laski, docteur en philosophie est un ancien élève de Chantal Delsol, une philosophe du courant libéral-conservateur. Ses travaux s’inscrivent dans une réflexion critique sur la modernité, le pouvoir et les dérives idéologiques des sociétés contemporaines. Il interroge les mécanismes de domination intellectuelle et politique, dénonçant les formes insidieuses de contrôle social et de manipulation médiatique.

Une démocratie confisquée par une élite invisible

La France n’est plus gouvernée par son peuple, mais par une oligarchie contrôlant institutions, médias et finance sous une façade démocratique. Le véritable pouvoir appartient à une élite administrative et économique qui impose son agenda sans opposition réelle.

Les décisions stratégiques sont verrouillées, indépendamment des élections : l’UE, les multinationales et les groupes financiers dictent la politique, reléguant les élus au rôle d’exécutants. L’État ne défend plus le bien commun, mais sert une caste dirigeante. La haute administration, la justice et les grandes institutions sont noyautées par des technocrates interchangeables partageant les mêmes intérêts.

La séparation des pouvoirs a disparu : l’exécutif contrôle le législatif via les partis, et la justice est instrumentalisée contre toute contestation. Le citoyen est privé de recours face à des décisions imposées au bénéfice des mêmes acteurs.

La tyrannie moderne : censure, surveillance et coercition

Le contrôle de la population repose sur une domination totale. La censure numérique élimine toute pensée dissidente sous couvert de lutte contre la désinformation. Les médias, détenus par quelques milliardaires, façonnent artificiellement l’opinion publique en diffusant un discours unique.

L’État a renforcé son arsenal juridique et technologique pour neutraliser toute opposition. Le fichage numérique, la surveillance des réseaux sociaux, des transactions bancaires et l’usage de caméras intelligentes assurent un contrôle permanent. Les forces de l’ordre sont mobilisées pour réprimer les contestations, criminalisant la dissidence sous prétexte de maintien de l’ordre.

Les restrictions économiques et sociales asservissent progressivement la société. L’État punit les réfractaires en limitant l’accès aux services publics et restreint des droits fondamentaux. La peur devient une arme, incitant à l’auto-censure et à la soumission.

La crise sanitaire, laboratoire d’un pouvoir absolu

Entre 2020 et 2022, la crise sanitaire a servi de test pour l’instauration d’un régime autoritaire sous prétexte d’urgence. Le gouvernement a imposé des mesures liberticides inédites : confinement, couvre-feu, restrictions de circulation, divisions sociales.

L’ingénierie sociale a conditionné la population à accepter l’inacceptable. La peur entretenue par une communication de crise permanente a conduit à l’exclusion des non-vaccinés et à la stigmatisation de toute critique. Cette période a habitué les citoyens à se soumettre à des règles absurdes, ouvrant la voie à de futures restrictions sous d’autres prétextes.

Mais le plus inquiétant est l’héritage de cette période. L’État a pris goût au pouvoir absolu et n’entend pas y renoncer. Les outils de surveillance et de contrôle expérimentés sont désormais intégrés dans le fonctionnement normal du pays : pass sanitaire, identification numérique, restrictions sous couvert de sécurité.

Découvrez les vérités cachées derrière l’instauration progressive d’un pouvoir tyrannique avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

https://geopolitique-profonde.com/