Salut, c’est le Grain de Son, l’émission d’Attac Puy-de-Dôme.
Un génocide est en cours à Gaza, au vu et au su de tous, et que fait la Communauté Internationale ? Rien, ou presque. L’ONU, créée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale pour maintenir la paix et empêcher que de tels crimes contre l’humanité ne se reproduisent, se révèle incapable de faire respecter le droit international.
À l’impuissance des Nations Unies répond l’indifférence de la plupart des grandes puissances occidentales. C’est que critiquer Israël, c’est prendre le risque d’être taxé d’antisémitisme. Et soutenir les peuples musulmans, c’est s’exposer à être accusé de complicité avec le terrorisme. On connaît ces vieilles rengaines.
Ce qu’on entend peut-être moins souvent, c’est que si nos gouvernements sont si indulgents avec le pouvoir Israélien, c’est aussi parce qu’entre états colonisateurs d’hier et d’aujourd’hui, on se comprend. Le sort des gazaouis nous ramène aux pires heures de la conquête de l’Ouest ou de l’Afrique, quand l’homme blanc exterminait les indigènes, qu’il les enfermait dans des zoos et les considérait comme des animaux humains.
Des animaux humains : ce sont exactement les termes employés par le ministre israélien de la défense, Yoav Galant, à l’encontre des palestiniens. Hier comme aujourd’hui, ici ou là-bas, le colonialisme est un crime, il doit être combattu.
Invité·e·s :
- Bernadette AÏT-LAHSEN, Association France Palestine Solidarité (AFPS 63)
- Abdallah BADRA, enseignant-chercheur franco-libanais, membre de l’Association des Universitaires pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP)
- Yves CHILLIARD, Association France Palestine Solidarité (AFPS 63)
Un génocide est en cours à Gaza, au vu et au su de tous, et que fait la Communauté Internationale ? Rien, ou presque. L’ONU, créée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale pour maintenir la paix et empêcher que de tels crimes contre l’humanité ne se reproduisent, se révèle incapable de faire respecter le droit international.
À l’impuissance des Nations Unies répond l’indifférence de la plupart des grandes puissances occidentales. C’est que critiquer Israël, c’est prendre le risque d’être taxé d’antisémitisme. Et soutenir les peuples musulmans, c’est s’exposer à être accusé de complicité avec le terrorisme. On connaît ces vieilles rengaines.
Ce qu’on entend peut-être moins souvent, c’est que si nos gouvernements sont si indulgents avec le pouvoir Israélien, c’est aussi parce qu’entre états colonisateurs d’hier et d’aujourd’hui, on se comprend. Le sort des gazaouis nous ramène aux pires heures de la conquête de l’Ouest ou de l’Afrique, quand l’homme blanc exterminait les indigènes, qu’il les enfermait dans des zoos et les considérait comme des animaux humains.
Des animaux humains : ce sont exactement les termes employés par le ministre israélien de la défense, Yoav Galant, à l’encontre des palestiniens. Hier comme aujourd’hui, ici ou là-bas, le colonialisme est un crime, il doit être combattu.
Invité·e·s :
- Bernadette AÏT-LAHSEN, Association France Palestine Solidarité (AFPS 63)
- Abdallah BADRA, enseignant-chercheur franco-libanais, membre de l’Association des Universitaires pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP)
- Yves CHILLIARD, Association France Palestine Solidarité (AFPS 63)