Bonjour à tous,
Voici une nouvelle vidéo publiée sur la Chaîne YouTube Santé des enfants et environnement, intitulée “Maladies respiratoires des enfants liées à l’environnement, avec Frédéric de Blay”, ainsi que le podcast associé et quelques points clés de l’échange, selon moi.
Présentation de Frédéric de Blay, qui connaît bien le thème des maladies respiratoires et des allergies liées à l’environnement
Bonjour les parents verts et prudents,
Aujourd’hui j’échange avec Frédéric de Blay. Frédéric est pneumologue, allergologue et professeur émérite de Pneumologie à la Faculté de Médecine de Strasbourg.
On discute notamment des maladies respiratoires liées à l’environnement, dont les allergies, du métier de Conseiller Médical en Environnement Intérieur (CMEI), des bonnes pratiques pour les enfants asthmatiques, et d’autres sujets.
Voilà, j’espère que vous y trouverez des choses utiles. Et je vous amène Frédéric de Blay.
NB : dans le cadre de cet échange, la personne interviewée s’exprime à titre personnel, intuitu personae, et ne vise à représenter aucun de ses organismes d’affiliation. Les points de vue exprimés ne reflètent pas nécessairement les décisions ou la politique déclarée de ces organismes.
Quelques points clés selon moi, issus de la vidéo « Maladies respiratoires et allergies liées à l’environnement, avec Frédéric de Blay »
* Les sprays à base d’huiles essentielles, même s’ils affichent des allégations comme « assainissant l’air intérieur », sont une fausse bonne idée pour les asthmatiques. En particulier, ces sprays peuvent conduire à de très fortes concentrations en composés organiques volatiles (COV).
* Les personnes allergiques présentent des sensibilités liées à leur patrimoine génétique : leurs barrières biologiques d’échanges avec l’extérieur sont trop perméables. Et ainsi, des allergènes tels que des polluants vont pouvoir plus facilement pénétrer dans leur organisme.
* Si un enfant présente des symptômes faisant suspecter la présence d’une potentielle allergie, la première chose à faire est d’aller voir un allergologue pour qu’un diagnostic précis soit posé. Les bonnes pratiques permettant de réduire ces symptômes dépendront des conclusions de ce diagnostic spécifique.
* Par exemple, pour un enfant allergique aux acariens, les bonnes pratiques à mettre en œuvre incluent les suivantes.
* « Mettre une house autour du matelas.
* Avoir un sommier à lattes.
* Avoir un sol lisse.
* Ne pas voir 50 peluches.»
* Laver régulièrement l’oreiller et les quelques éventuelles peluches.
* Aérer sa maison régulièrement.
Conseillers médicaux en environnement intérieur
* Sur prescription médicale, les conseillers médicaux en environnement intérieur viennent faire des audits de la qualité de l’air à la maison. Il s’agit d’une aide précieuse pour le diagnostic du médecin.
* Renouveler régulièrement l’air intérieur permet aussi d’éviter les excès d’humidité. Ces excès d’humidité favorisent l’apparition de moisissures, qui émettent dans l’air des mycotoxines. Ces mycotoxines aggravent les symptômes asthmatiques.
* Certains polluants peuvent aggraver des symptômes asthmatiques existants. Il s’agit alors d’une sorte de synergie de toxicité. D’autres polluants peuvent initier des allergies. Par exemple,
Voici une nouvelle vidéo publiée sur la Chaîne YouTube Santé des enfants et environnement, intitulée “Maladies respiratoires des enfants liées à l’environnement, avec Frédéric de Blay”, ainsi que le podcast associé et quelques points clés de l’échange, selon moi.
Présentation de Frédéric de Blay, qui connaît bien le thème des maladies respiratoires et des allergies liées à l’environnement
Bonjour les parents verts et prudents,
Aujourd’hui j’échange avec Frédéric de Blay. Frédéric est pneumologue, allergologue et professeur émérite de Pneumologie à la Faculté de Médecine de Strasbourg.
On discute notamment des maladies respiratoires liées à l’environnement, dont les allergies, du métier de Conseiller Médical en Environnement Intérieur (CMEI), des bonnes pratiques pour les enfants asthmatiques, et d’autres sujets.
Voilà, j’espère que vous y trouverez des choses utiles. Et je vous amène Frédéric de Blay.
NB : dans le cadre de cet échange, la personne interviewée s’exprime à titre personnel, intuitu personae, et ne vise à représenter aucun de ses organismes d’affiliation. Les points de vue exprimés ne reflètent pas nécessairement les décisions ou la politique déclarée de ces organismes.
Quelques points clés selon moi, issus de la vidéo « Maladies respiratoires et allergies liées à l’environnement, avec Frédéric de Blay »
* Les sprays à base d’huiles essentielles, même s’ils affichent des allégations comme « assainissant l’air intérieur », sont une fausse bonne idée pour les asthmatiques. En particulier, ces sprays peuvent conduire à de très fortes concentrations en composés organiques volatiles (COV).
* Les personnes allergiques présentent des sensibilités liées à leur patrimoine génétique : leurs barrières biologiques d’échanges avec l’extérieur sont trop perméables. Et ainsi, des allergènes tels que des polluants vont pouvoir plus facilement pénétrer dans leur organisme.
* Si un enfant présente des symptômes faisant suspecter la présence d’une potentielle allergie, la première chose à faire est d’aller voir un allergologue pour qu’un diagnostic précis soit posé. Les bonnes pratiques permettant de réduire ces symptômes dépendront des conclusions de ce diagnostic spécifique.
* Par exemple, pour un enfant allergique aux acariens, les bonnes pratiques à mettre en œuvre incluent les suivantes.
* « Mettre une house autour du matelas.
* Avoir un sommier à lattes.
* Avoir un sol lisse.
* Ne pas voir 50 peluches.»
* Laver régulièrement l’oreiller et les quelques éventuelles peluches.
* Aérer sa maison régulièrement.
Conseillers médicaux en environnement intérieur
* Sur prescription médicale, les conseillers médicaux en environnement intérieur viennent faire des audits de la qualité de l’air à la maison. Il s’agit d’une aide précieuse pour le diagnostic du médecin.
* Renouveler régulièrement l’air intérieur permet aussi d’éviter les excès d’humidité. Ces excès d’humidité favorisent l’apparition de moisissures, qui émettent dans l’air des mycotoxines. Ces mycotoxines aggravent les symptômes asthmatiques.
* Certains polluants peuvent aggraver des symptômes asthmatiques existants. Il s’agit alors d’une sorte de synergie de toxicité. D’autres polluants peuvent initier des allergies. Par exemple,